(#Ausrtalie – #Queensland – de Rockhampton à #TinCanBay)
J101 : une journée sans…
Aujourd’hui nous quittons notre camping BP de Marmor après une petite séquence photo bien matinale. La forme étant légère, nous ne ferons que 230 kilomètres le matin. Nous nous arrêtons sur la route pour voir une ville historique, Calliope mais le site est fermé…ce que nous en voyons de l’extérieur ne nous émeut pas particulièrement. En suivant, nous arrivons sur la ville de #Gladestone. En cherchant une petite route que nous ne trouverons pas, nous tombons sur une énorme usine où l’on extrait l’alumine. Le sol et les installations techniques sont d’un rouge oranger intense. Nous poursuivons et à l’entrée de la petite ville de #GinGin (qui n’a rien à voir avec le bordelais #AlainAfflelou) nous nous arrêtons à un campement gratuit entouré de verdure parfait pour nous poser l’après-midi à ne rien faire d’autre que de profiter du soleil, et pour nos filles de travailler un peu leurs maths et l’histoire du pays que nous traversons avec Nathalie dans le rôle du professeur. La nuit est la plus fraiche que nous ayons connue depuis trois mois et la température est descendue aux alentours des 15°, brrrrrrrr.
J102 : une journée avec !
Nous reprenons notre route en direction de Brisbane dont nous nous approchons. Il faut dire que nous avons déjà parcouru près de 1800 kilomètres depuis le 20 mai soit une moyenne de 300 kilomètres par jour. La première partie de la route n’a rien d’enthousiasmant même si les paysages sont toujours beaux. C’est que nous devenons difficiles.
A notre arrivée dans la ville de #Childers, nous décidons de nous arrêter. Cette ville a réussi à bien conserver son héritage immobilier et la rue principale qui la traverse a un charme qui nous incite à descendre pour voir ça de plus près. Nous y voyons de vieilles bâtisses construites fin XIX début XX au cachet certain.
En poursuivant la route vers #HerveyBay, nous apercevons une petite bicoque à vendre avec un non moins petit terrain de seulement 222 acres. Nous appellerons un autre jour pour la réserver mais nous nous y voyions bien.
En arrivant sur Hervey Bay, le golf est pratiqué par des bipèdes avec casquettes, shorts et clubs. Ces derniers partagent l’espace avec des quadrupèdes aux grandes pattes arrières puissantes venus déguster le vert gazon visiblement à leur goût. Il s’agit de nos amis les kangourous gris…il nous semble apercevoir également des kangourous roux sans courroux exercice de diction n°2 pour Cécile). La petite ville côtière d’Hervey Bay est bien agréable. Elle est un des points de départs vers #FraserIsland, la plus grande île de sable au monde que nous apercevons de loin.
Nous poursuivons par la route touristique toujours indiquée par des panneaux marrons et arrivons à #Maryborough. Il s’agit d’une jolie ville là aussi bien conservée. Mais nous ne nous y arrêtons pas.
Nous finissons notre parcours à nouveau sur la côte, dans la petite bourgade de Tin Can Bay. Le site est parfait pour notre repas à l’espagnole aux alentours de 15h….L’occasion de re-tester les barbecues publics en compagnie non plus d’une mouette mais cette fois-ci d’une sorte de Pee Wee un peu costaud et pas farouche puisqu’il montera sur le dossier de ma chaise pendant que j’y suis. Des petits perroquets en nombre seront également dans le périmètre. La ballade qui suit est fort agréable même si la température de 23° et le vent nous incitent à sortir nos polaires. Pauline s’essaiera à un jeu jamais vu chez nous. Une sorte de mini grue pour faire des trous devant soi 😉
Nous nous rendons sur la magnifique baie. La mer est retirée loin et des pêcheurs s’adonnent à leur passe temps favori. Nous nous approchons d’eux car un grand pélican semble faire partie de l’équipe.
Nous discutons avec Terry, un anglais installé depuis plus de cinquante ans en Australie et ses amis pêcheurs tous adorables. Les filles peuvent approcher de très près le pélican sauvage qui est un habitué de cette plage et même lui tendre des petits poissons remis par nos amis pêcheurs.
Nous assistons à une course de crabes bleus faiseurs de boules. Enfin, Terry sort un énorme poisson de l’eau avec sa canne après avoir bataillé ferme près de cinq minutes. Il nous dit que ça n’est pas comme ça tous les jours et qu’on lui porte chance. Une belle rencontre comme nous aimons en avoir depuis notre départ. Terry nous proposera même de goûter à son poisson, mais nous le lui laisserons car il nous sera difficile de bien le cuisiner.
En suivant nous prenons place dans un camping situé au cœur de la petite bourgade en bord de mer, le King Fisher Caravan Parc, où nous recevons un très agréable accueil. Nous allons en suivant assister au coucher de soleil près de la marina, à l’endroit où la rivière se jette dans la mer. A 17h45 il fait nuit et nous rentrons au camp.
Demain matin, si nous avons de la chance, nous irons voir des dauphins qui viennent tous les matins chercher à manger dans la marina.
A suivre…
Je pensais que sur cette cote il y avait la barrière de corail. En fait c’est comme en Bretagne en plein été avec des animaux exotiques en plus ! Nathalie doit se sentir dans son élément
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En fait la grande barrière de corail est loin de la côte du coup on ne la voit pas souvent. Il faut prendre un bateau. Après c’est vrai que la côte a un air de Bretagne et de Pays Basque aussi.
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Ça reste très dépaysant !
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